Die Kompanie mikro-kit
vereint franko-schweizer und Berliner Künstler*innen. Unser gemeinsames Ziel ist es, gesellschaftlichen Phänomenen nachzuspüren, indem wir individuelle Lebenswege, singuläre Situationen und Mikrokosmen beleuchten und auf die Bühne bringen. Unsere Arbeitsweise ist mehrsprachig, kollektiv und von dem Anspruch geprägt, einen multiperspektivischen Blick auf die Welt zu werfen. Indem wir literarische Texte mit dokumentarischem und (auto-) biografischem Material in Perspektive setzen, machen wir uns die Vielstimmigkeit des Theaters zunutze, um zu hinterfragen, was uns umgibt, und zu ergründen, was sein könnte.
Zuletzt präsentierten wir die interaktive Installation GESTALTEN beim Literaturfestival Ost|West|Frau* vom 8.-10. März im Roten Salon der Berliner Volksbühne. Eine Kittelschürze aus Jeansstoff, drei rote Haselnüsse, eine Packung „Antiwunschkind-Pille“, ein pelzüberzogener Stempel… Über die gesamte Festivalzeit haben wir die Besucher:innen dazu eingeladen, sich von solchen Zwitterobjekten inspirieren zu lassen, Erinnerungen nachzugehen und selbst zu erzählen, zu schreiben und miteinander in den Austausch zu treten. Uns ging es darum, die Stimmen dieses Festivals zu sammeln, einen kollektiven Chor aus Erinnerungen, Eindrücken und Assoziationen zu schaffen und einen Raum für gemeinschaftliche wie individuelle Erinnerungen zu eröffnen. Aus diesem Fundus collagierten wir einen kollektiven, anonymen und mehrstimmigen Text, den wir zum Abschluss präsentiert haben.
Außerdem fand am 24. März 2024 die Abschlussveranstaltung von COMMON DAILY BATTLES im Badaboomstudio (Kreuzberg) statt. Im Rahmen dieses Recherchestipendiums des Fonds Darstellende Künste untersucht Magali Tosato Methoden des kollektiven Schreibens aus unterschiedlichen Disziplinen. Im Fokus steht die Frage: Können uns Geschichten aus dem Alltag empowern, und uns zu neuen gesellschaftlichen Visionen inspirieren?
Projekte
Team
Presse
Profil
Ein wichtiges Stück
Le 19h30, RTS - Fernsehen -
28.10.2020
“Wunderbar gespielt, wunderbar inszeniert. (…) Ein wichtiges Stück.”
Une forme qui sort des canons habituels
www.sceneweb.fr -
02.11.2020
“Ensemble, Moanda Daddy Kamono et Magali Tosato réussissent, avec une forme de récit qui sort des canons habituels, à donner à la figure du comédien un relief qui va au-delà de son physique et de sa technique. (…) Un propos qui tire aussi sa force du travail scénographique de Franziska Keune et de la composition live de Rodriguez Vangama. (…) Le musicien forme un beau tandem avec Moanda Daddy Kamono et offre au plateau une ambiance lumineuse et gracieuse, inattendue, mais bienvenue, pour enluminer, sans le travestir, un sujet aussi sérieux.”
Wilde wilde Wesen
Audiovisuelles Spiel: Wer steckt hinter der Maske?
Neue Osnabrücker Zeitung -
17.11.2019
“Performativ, assoziativ: vielschichtig und facettenreich. (…) Eine neuartige, so vorher nie gesehene Form des Theaters.”
Wie eine Graphic Novel
Potsdamer Neueste Nachrichten -
12.05.2019
“Echtes Handwerk war auch im Stück „Wilde wilde Wesen“ zu erleben. Ein riesiger weißer Hase tanzte mit seinem Spiegelbild, das in Echtzeitprojektionen am Projektionstisch entstand – grandios, die Verwandlung, die er, nachdem er seine Haut abstreifte, vollzog. Die Verschmelzung von analogen und digitalen Projektionen öffnete fantastische Gedankenräume und erinnerte an eine Graphic Novel.”
Mettlach
Das Saarland beschwört die eigene Zukunft
Nachtkritik -
18.01.2019
“Sechs Figuren, sechs Lebensläufe und eine von enttäuschter Liebe und Verlassenwerden getränkte grenzüberschreitende Familiensoap haben die Autorinnen Lydia Dimitrow und Magali Tosato nach ihrem Rechercheaufenthalt vor Ort erfunden. (…) ’Großes entsteht immer im Kleinen’: Mit diesem trotzig-selbstbewussten Werbeslogan beschwört das Saarland die eigene Zukunft..”
Eine Zukunft finden
SR Fernsehen -
30.01.2019
“Dieses dramaturgische Potential nutzen sie für ihr Familiendrama, in dem auch Mettlacher Geschichte erzählt wird. (…) In einem Ort, in dem die beiden Autorinnen so vieles entdeckt haben an Geschichte und Geschichten – Hermann, Silke, Sill und die anderen müssen ihre Zukunft finden, eben wie die Gemeinde Mettlach.”
Eine Welt im Brennglas
Saarbrücker Zeitung -
21.01.2019
“Doch im Grunde werden übers Ortsspezifische allgegenwärtige Probleme verhandelt: Generationen- und Eltern-Kind-Konflikte, Vergangenheitsbewältigung versus Zukunftsgestaltung, Abhängigkeit gegen Selbstbehauptung, Gehen oder Bleiben. Wenn aber Mettlach überall ist, wie man aus dieser Welt im Brennglas schließen darf: hat sich dann die geplante Trilogie nicht bereits nach diesem ersten Akt erschöpft? Warten wir ab…”
Qui a peur d'Hamlet?
Empêcher la domination
Radio-Télévision suisse, culture -
13.11.2018
“Remettre en cause les acquis pour empêcher que la domination ne s’installe comme structure, voilà l’ambition de Magali Tosato. (…) Dans “Qui a peur d’Hamlet”, elle cite Heiner Müller, précisément parce qu’il a sorti le personnage d’Ophélie de son rôle de victime romantique pour en faire une figure d’émancipation féminine.”
Shakespeare version polar truculent
LE BRUIT DUOFFTRIBUNE -
12.11.2018
“C’est donc un Hamlet à la portée de toutes et tous qui nous est proposé : une tragédie humaine séculaire empreinte de la nuance contemporaine qui nous en rapproche, tout cela saupoudré d’humour et de connivence avec l’assistance. Et une épatante scénographie.”
Puissants questionnements
Le Courrier -
14.11.2018
“Voilà donc une pièce qui permet de connaître le drame le plus célèbre de Shakespeare et d’en rire. Cela pourrait s’arrêter là, mais aurait enlever toute la profondeur de ce spectacle qui soulève de puissants questionnements. (…) A tout juste 30 ans, Magali Tosato propose une nouvelle réflexion sur le monde dans lequel nous vivons.”
Luxus/ Liebe
Poser des questions dérangeantes
La Liberté -
18.02.2017
“La conscience «des rapports de domination» et des discriminations entre hommes et femmes ou vis-à-vis des étrangers est dans l’ADN de Magali Tosato. (…) En interrogeant les conditions de mariage en Suisse, en interviewant des couples, le Service de la population, des juges, elle n’a pas peur de poser des questions dérangeantes.”
Explorer les arcanes du mariage d’amour ou de raison
Radio-Télévision suisse, Radio Culture -
03.03.2017
“A Vidy, la pièce “Amour/Luxe” explore avec finesse et humour la vie de centaines de couples en Suisse romande. Lorsque la personne que vous aimez n’a pas les bons papiers, voire pas de papiers, le mariage va-t-il de soi? (…) Du théâtre documentaire révélateur et passionnant.”
Home-Made
Sommes-nous tous des enfants "fait maison"?
Le Temps -
28.09.2015
“Faut-il se débarrasser de son bagage familial pour devenir réellement quelqu’un ? Cette question focalise rapidement le propos autour d’une personne phare dans la vie de chaque individu : la mère. Conditionne-t-elle l’enfant à sa propre vision de la réalité, faisant de lui un homme façonné et non libre d’être vraiment qui il est ? Sommes-nous tous des enfants « faits-maison », créés selon différents concepts établis par notre mère ? Cette pièce finit alors par concerner n’importe quelle personne, âge et sexe confondus. À noter que le spectateur ne fait pas que réfléchir, mais rit beaucoup également.”
Dandy en deshérence
SORTIRch -
Octobre 2015
“On se souvient de Mars, électrochoc signé Fritz Zorn en 1977. (…) Magali Tosato, nouvelle venue sur la scène contemporaine, reprend cette idée de dandy en deshérence et l’étudie sous l’angle de la perte de réalité. « Ce qui est intéressant, dit la jeune femme, c’est de comprendre pourquoi un mâle hétérosexuel blanc et riche, qui a toutes les cartes en main, ne peut pas les utiliser. » Un empêchement que cette diplômée en histoire et littérature française visite sous l’angle de l’absurde, au moyen d’improvisations et de recherches documentaires.”
Ô maman suppôt de l'Etat
Le Temps -
29.09.2015
“Et si la mère nourricière marchait main dans la main avec la mère patrie pour fabriquer de parfaits citoyens ? Et si, en transmettant ses valeurs d’obéissance, de réussite et de bonheur tranquille, la Suissesse moyenne contribuait à une vaste entreprise de conditionnement ? Ces questions, qui claquaient déjà au coeur de Mars, de Fritz Zorn, dans des termes violents, animent de façon plus douce Home-Made, spectacle de Magali Tosato. Une manière moins idéologique et plus drôle de faire le procès de l’aliénation que suppose toute éducation.”
Hamlet in den Schulen
Spectacle jubilatoire
Le journal de l'île -
07.05.2018
“Une mise en scène et des comédiens jubilatoires pour refaire l’histoire. (…) Tout y est. Même en raccourci et avec des chemins de traverse incongrus, a priori, qui enchantent l’auditoire convié, dans la foulée, comme au Cluedo, à donner son avis aux acteurs sur l’identité de celui qui a tué le père d’Hamlet.”
Un moment magique
Adjoint au département de la formation de la jeunesse et de la culture du Canton de Vaud (Suisse) -
27.03.2015
“Excellent moment que cette opération de 1h30, au cours de laquelle quatre acteurs mettent le public en condition, montrent et démontrent le texte de Shakespeare, l’entrecoupent d’un texte de leur crû ou d’autres auteurs qui ont travaillé le personnage de Hamlet. Spectacle toujours de haute tenue mettant en valeur le rôle de l’acteur dans la relecture d’un texte, suscitant le débat sur l’interprétation. Bref un moment magique.”
Une bombe dʹénergie et dʹintelligence
Radio-Télévision suisse, Vertigo -
12.05.2016
“Le classique de Shakespeare comme vous ne lʹavez jamais vécu. Envoyé en moins dʹune heure. Avec participation du public, quatre comédiens en embuscade au milieu des spectateurs et des saillies contemporaines sur le sens du texte et des personnages. Cet “Hamlet” signé Magali Tosato est une bombe dʹénergie et dʹintelligence. Son seul défaut: la pièce tourne exclusivement dans les établissements scolaires à destination des élèves. Trop injuste!”
I love Italy and Italy loves me
Liebe ohne Schnulze
metropolkultur.com -
14.04.2014
“Die jungen Darsteller der Hochschule Ernst Busch spielen Szenen aus dem Leben Imperias und Giannis nach (…) Und jeder stellt sich die Frage: Wie stellen es Menschen an, dass sie so lange zusammenbleiben und das für jeden erkennbar auch noch glücklich? (…) Aber letztlich muss sich jeder Zuschauer die Antwort darauf selbst geben. Mit einem haben wir es hier aber nicht zu tun: mit einer Schnulze. Obwohl sich nach der eineinhalbstündiger Liebesgeschichte auf der Bühne mancher eine Träne aus den Augen wischen musste.”
Eine Aufführung voller Charme und Authentizität
The Huffington Post -
21.04.2014
“Ein Theaterstück, das die Gedanken weiter befördert, als sie von allein gegangen wären. (…) Das Bühnenbild von Franziska Keune ist ebenso simpel wie auf raffinierte Weise effizient (…) Was aber am stärksten in Erinnerung bleibt, sind nicht darstellerische Kabinettstückchen, sondern ist die zumeist ganz leise angesetzte Ensembleleistung (…). Viel Beifall für das Ensemble und, wie gesagt, auch für die als Zuschauer anwesenden Großeltern der Autorin. Beinahe ein Familienfest.”
Der Auftrag
Reizvolle Denkanstöße
Livekritik.de -
26.02.2013
“Gespielt wird mit Hingabe, Talent und vollem Körpereinsatz. (…) Wie es sich für eine ambitionierte Inszenierung gehört, bleiben allerdings auch manche Elemente rätselhaft und der Phantasie des Zuschauers überlassen. Lebhafter Beifall für eine Reihe szenisch reizvoller Denkanstöße.”
Versuch einer Sprengung
Tagesspiegel -
26.02.2013
“Versuch einer Sprengung: „Ernst Busch“-Studenten stellen sich dem Abenteuer, Heiner Müllers hochgeladene, hermetische Sprache in „Der Auftrag“ (1979) rücksichtslos zu erden. (…) Sie sind überall zu Hause, geben sich bedeutsam und feierlich, befragen Leute auf der Straße, reden, zitieren, kommentieren, machen Unfug, ganz unbedenklich, ganz locker. Dass da der Versuch einer Umwälzung der Verhältnisse scheitert, rückt in den Hintergrund. Den Fragen dieses Scheiterns stellt sich die Inszenierung dennoch. Aber die sechs Darsteller wollen keine Feierlichkeit. Sie fügen sich in die Figuren, liefern sich ihnen aber nicht aus, reißen sich immer wieder los, machen eben ihr Spiel.”