gib mir dein auto und dein geld. ich fahre fort. ich gründe eine welt.

La Mission

Was erzählen uns die Überreste unserer Verluste?

Sammlung der schier verlorenen Dinge

Eine Landstraße, ein Fluss, Bäume, Dickicht und eine ganz und gar unerwartete Begegnung.

Das Jahr des Hasen

Je veux sortir d’ici le désir amplifié

Profil

Qu'est-ce que nos corps, leurs traits et blessures ont à nous révéler?

Sauvages sauvage

Beaucoup de temps a passé, je sais, mais aujourd'hui ... aujourd'hui nous sommes tous les deux ici.

Mettlach

C’est pas parce que c’est écrit, et qu’un spectre le dit, que c’est vrai.

Qui a peur d'Hamlet?

Est-ce que l’amour a un potentiel utopique ?

Amour/Luxe

Qui devrais-je épargner par mon silence ?

Home-Made

Ça commence mal et le pire est à venir.

Hamlet dans les écoles

Youkali ist ein Land, das man sucht; ein Stern, dem man folgt; ein Traum.

I love Italy and Italy loves me

gib mir dein auto und dein geld. ich fahre fort. ich gründe eine welt.

La Mission

projets

presse

Profil

Poignant et frappant

Martine Fehlbaum
Inferno-magazine - 06.11.2020

“Un texte poignant, une interprétation frappante: La couronne de Richard III lui a peut-être échappé, pourtant les attributs de l’artiste accompli ceignent le front de Moanda Daddy Kamono.”

Un projet qui a du sens

Julie Evard
Radio Télévision suisse, Téléjournal - Le 19h30 - 28.10.2020

“Une création magnifiquement interprétée, magnifiquement mise en scène. (…) Un projet qui a du sens, profondément.”

Une forme qui sort des canons habituels

Vincent Bouquet
www.sceneweb.fr - 02.11.2020

“Ensemble, Moanda Daddy Kamono et Magali Tosato réussissent, avec une forme de récit qui sort des canons habituels, à donner à la figure du comédien un relief qui va au-delà de son physique et de sa technique. (…) Un propos qui tire aussi sa force du travail scénographique de Franziska Keune et de la composition live de Rodriguez Vangama. (…) Le musicien forme un beau tandem avec Moanda Daddy Kamono et offre au plateau une ambiance lumineuse et gracieuse, inattendue, mais bienvenue, pour enluminer, sans le travestir, un sujet aussi sérieux.”

Sauvages sauvages

Du jamais vu

Matthias Liedtke
Neue Osnabrücker Zeitung - 17.11.2019

“Performatif, associatif, complexe et diversifié. (…) Une nouvelle forme de théâtre, telle qu’on ne l’avait encore jamais vue.”

Roman graphique

Astrid Priebs-Tröger
Potsdamer Neueste Nachrichten - 12.05.2019

“C’est tout un art que le spectacle Wilde Wilde Wesen déploie. On y voit danser un lapin géant avec son reflet, animé – en temps réel – depuis la table de projection. La métamorphose qu’il accomplit une fois qu’il s’est débarrassé de sa peau est grandiose. Le mélange des projections numériques et digitales ouvre d’incroyables espaces de réflexion, rappelant le roman graphique.”

Mettlach

La Sarre conjure son avenir

Reingart Saupe
Nachtkritik - 18.01.2019

"”Les petits ruisseaux font les grandes rivières.” C’est avec ce fier slogan publicitaire que la Sarre défie son avenir. Les deux autrices Lydia Dimitrow et Magali Tosato, en visant elles aussi, dans leur feuilleton, à généraliser le propos à partir d’événements locaux, ont trop demandé à leurs acteurs. Mais malgré les faiblesses de ce premier chapitre de la Saga de la Sarre, le public, qui se sent un peu chez lui ce soir au théâtre, applaudit chaleureusement.”

Affronter l'avenir

Susanne Kirchhofer
SR Fernsehen - 30.01.2019

“Elles [Lydia Dimitrow & Magali Tosato] se servent de ce potentiel dramaturgique pour un drame familial qui raconte aussi l’histoire de Mettlach. (…) Dans un lieu où les autrices ont découvert tant d’histoires et d’Histoire, Hermann, Silke, Sill et les autres doivent affronter leur avenir. Tout comme la commune de Mettlach.”

Un univers sous la loupe

Kerstin Krämer
Saarbrücker Zeitung - 21.01.2019

“Les problèmes évoqués ici sont omniprésents, bien au-delà de l’échelle locale : le conflit générationnel parents-enfants, le dépassement du passé pour construire l’avenir, la dépendance comme obstacle à l’affirmation de soi, le dilemme entre rester ou partir. Mais si Mettlach est partout, comme cet univers passé à la loupe en convainc, la trilogie prévue ne serait-elle pas déjà épuisée après ce premier acte ? Attendons pour voir …”

Qui a peur d'Hamlet?

Shakespeare version polar truculent

Culturieuse
LE BRUIT DUOFFTRIBUNE - 12.11.2018

“C’est donc un Hamlet à la portée de toutes et tous qui nous est proposé : une tragédie humaine séculaire empreinte de la nuance contemporaine qui nous en rapproche, tout cela saupoudré d’humour et de connivence avec l’assistance. Et une épatante scénographie.”

Puissants questionnements

Emmanuelle Fournier-Lorentz
Le Courrier - 14.11.2018

“Voilà donc une pièce qui permet de connaître le drame le plus célèbre de Shakespeare et d’en rire. Cela pourrait s’arrêter là, mais aurait enlever toute la profondeur de ce spectacle qui soulève de puissants questionnements. (…) A tout juste 30 ans, Magali Tosato propose une nouvelle réflexion sur le monde dans lequel nous vivons.”

Empêcher la domination

Pierre Philippe Cadert
Radio-Télévision suisse, culture - 13.11.2018

“Remettre en cause les acquis pour empêcher que la domination ne s’installe comme structure, voilà l’ambition de Magali Tosato. (…) Dans “Qui a peur d’Hamlet”, elle cite Heiner Müller, précisément parce qu’il a sorti le personnage d’Ophélie de son rôle de victime romantique pour en faire une figure d’émancipation féminine.”

Amour /Luxe

Poser des questions dérangeantes

Elisabeth Haas
La Liberté - 18.02.2017

“La conscience “des rapports de domination” et des discriminations entre hommes et femmes ou vis-à-vis des étrangers est dans l’ADN de Magali Tosato. (..) En interrogeant les conditions de mariage en Suisse, en interviewant des couples, le Service de la population, des juges, elle n’a pas peur de poser des questions dérangeantes.”

Explorer les arcanes du mariage d’amour ou de raison

Thierry Sartoretti
RTS Radio Culture - 03.03.2017

“A Vidy, la pièce “Amour/Luxe” explore avec finesse et humour la vie de centaines de couples en Suisse romande. Lorsque la personne que vous aimez n’a pas les bons papiers, voire pas de papiers, le mariage va-t-il de soi? (…) Du théâtre documentaire révélateur et passionnant.”

Home-Made

Sommes-nous tous des enfants "fait maison"?

Sabrina Roh
Le Temps - 28.09.2015

“Faut-il se débarrasser de son bagage familial pour devenir réellement quelqu’un ? Cette question focalise rapidement le propos autour d’une personne phare dans la vie de chaque individu : la mère. Conditionne-t-elle l’enfant à sa propre vision de la réalité, faisant de lui un homme façonné et non libre d’être vraiment qui il est ? Sommes-nous tous des enfants « faits-maison », créés selon différents concepts établis par notre mère ? Cette pièce finit alors par concerner n’importe quelle personne, âge et sexe confondus. À noter que le spectateur ne fait pas que réfléchir, mais rit beaucoup également.”

Dandy en deshérence

SORTIRch
SORTIRch - Octobre 2015

“On se souvient de Mars, électrochoc signé Fritz Zorn en 1977 (…). Magali Tosato, nouvelle venue sur la scène contemporaine, reprend cette idée de dandy en deshérence et l’étudie sous l’angle de la perte de réalité. “Ce qui est intéressant, dit la jeune femme, c’est de comprendre pourquoi un mâle hétérosexuel blanc et riche, qui a toutes les cartes en main, ne peut pas les utiliser.” Un empêchement qu’elle visite sous l’angle de l’absurde, au moyen d’improvisations et de recherches documentaires.”

Ô maman suppôt de l'Etat

Marie-Pierre Genecand
Le Temps - 29.09.2015

“Et si la mère nourricière marchait main dans la main avec la mère patrie pour fabriquer de parfaits citoyens ? Et si, en transmettant ses valeurs d’obéissance, de réussite et de bonheur tranquille, la Suissesse moyenne contribuait à une vaste entreprise de conditionnement ? Ces questions, qui claquaient déjà au coeur de Mars, de Fritz Zorn, dans des termes violents, animent de façon plus douce Home-Made, spectacle de Magali Tosato.(…) Une manière moins idéologique et plus drôle de faire le procès de l’aliénation que suppose toute éducation.”

Hamlet dans les écoles

Spectacle jubilatoire

Marine Dusigne
Le journal de l'île - 07.05.2018

“Une mise en scène et des comédiens jubilatoires pour refaire l’histoire. (…) Tout y est. Même en raccourci et avec des chemins de traverse incongrus, a priori, qui enchantent l’auditoire convié, dans la foulée, comme au Cluedo, à donner son avis aux acteurs sur l’identité de celui qui a tué le père d’Hamlet.”

Un moment magique

Denis Aubert
Adjoint au Département de la formation de la jeunesse et de la culture du Canton de Vaud (Suisse) - 27.03.2015

“Excellent moment que cette opération de 1h30, au cours de laquelle quatre acteurs mettent le public en condition, montrent et démontrent le texte de Shakespeare, l’entrecoupent d’un texte de leur crû ou d’autres auteurs qui ont travaillé le personnage de Hamlet. Spectacle toujours de haute tenue mettant en valeur le rôle de l’acteur dans la relecture d’un texte, suscitant le débat sur l’interprétation. Bref un moment magique.”

Une bombe dʹénergie et dʹintelligence

Thierry Sartoretti
Radio-Télévision suisse, Vertigo - 12.05.2016

“Le classique de Shakespeare comme vous ne lʹavez jamais vécu. Envoyé en moins dʹune heure. Avec participation du public, quatre comédiens en embuscade au milieu des spectateurs et des saillies contemporaines sur le sens du texte et des personnages. Cet “Hamlet” signé Magali Tosato est une bombe dʹénergie et dʹintelligence. Son seul défaut: la pièce tourne exclusivement dans les établissements scolaires à destination des élèves. Trop injuste!”

I love Italy and Italy loves me

Certains devront peut-être essuyer une larme

metropolkultur
metropolkultur.com - le 14.04.2014

“Les jeunes interprètes de la Haute Ecole de théâtre Ernst Busch jouent des scènes tirées de la vie d’Imperia et de Gianni : de leur rencontre. (…) Et chacun de se demander : comment fait-on pour rester aussi longtemps ensemble, et – cela saute aux yeux – avec bonheur même ? (…) Chaque spectateur est libre de trouver sa propre réponse. Une chose est sûre : nous n’avons pas affaire à une comédie sentimentale à l’eau de rose. Même si après une heure et demie de cette histoire d’amour, certains devront peut-être essuyer une larme.”

Idées neuves

Horst Rödiger
The Huffington Post - 21.04.2014

“Une pièce qui conduit à des idées neuves, semblant venues d’elles-mêmes. (…) La scénographie de Franziska Keune est à la fois simple et d’une subtile efficacité (…). Les scènes d’ensemble s’ébauchent en douceur, à l’image de cet instant (où) les cinq protagonistes de retour en Italie épluchent lentement une pomme, comme préparant un mets raffiné, chacun imitant des bruits d’oiseaux ou le bourdonnement d’une abeille, rendant l’idylle palpable. Une scène de groupe merveilleusement équilibrée clôt la pièce, avec la chanson “Bello, bello impossibile” créée par Gianna Nannini en 1986, interprétée en chœur, saisissante, apaisante, et très réussie au plan musical.”

La Mission

Une succession de scènes qui charment et questionnent

Horst Roediger
Livekritik.de - 26.02.2013

“Interprétée avec talent, passion et un engagment physique total, la mise en scène de Magali Tosato entame l’histoire par la fin, lorsque les survivants de la Jamaïque tentent de rendre à Antoine (Anton Weil) la mission qu’ils n’ont pu mener à bien. (…) Comme le veut toute mise en scène ambitieuse, des éléments demeurent énigmatiques, laissés à la fantaisie du spectateur. Vifs applaudissements pour cette succession de scènes qui charment et questionnent.”

Dynamitage programmé

Christoph Funke
Tagesspiegel - 26.02.2013

“Dynamitage programmé. Des étudiants de la Ernst Busch s’attellent sans complexes à la langue hermétique de Heiner Müller dans La mission (1979), et cherchent à lui donner un fondement. Leur défi: rendre contemporain ce “souvenir d’une révolution”. (…) Partout dans leur élément, ils débitent des discours, interrogent des passants, parlent ou citent, font du bruit, sans la moindre retenue. Que leur tentative de renversement se solde par un échec passe au second plan. C’est l’échec lui-même que la mise en scène questionne. Mais les six interprètes bannissent toute solennité. Ils glissent de personnages en personnages et s’en détachent sans se livrer à eux. Ce sont bien eux qui mènent le jeu.”

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